Bonjour,
Je suis moi aussi formateur, ancien stagiaire CUBIK passé du coté « lumineux » !
Ma démarche quand j’étais Client s’est effectivement basée sur la recherche d’une certification. J’en avais déjà une que je souhaitais dépoussiérer.
A mon avis les questions de certification sont des questions de confiance. Le certificat ne vaut jamais que par la confiance qu’on a dans l’organisme certificateur. C’est un peu comme les diplômes d’ingénieur en France qui valent plus par la réputation que par les Savoir-Faire transmis.

Le certificat fait sonner le téléphone, j’en témoigne. Son absence peut également s’avérer bloquante chez certains employeurs.

Je ne crois pas que l’IASSC fasse référence en France. Je n’en avais jamais entendu parler il y a un an. Impossible d’être sûr de qui aura la meilleure réputation dans quelques années.
Mais comme pour les diplômes dès qu’on a un sillage (de l’expérience) la question du certificat passe au second plan.

Un mot sur l’approche de certification, mon « nouveau » mal de crâne… Comment être sûr de ne pas se faire « avoir » ? Chez CUBIK pour certifier un Black Belt nous nous basons sur sa compréhension au delà des outils, au travers d’un Mémoire. Comme stagiaire j’ai trouvé l’exercice d’abord difficile puis essentiel dans mon développement. Argumenter dans mon Mémoire et devant les autres stagiaires sur la place du Black Belt fasse aux Qualiticiens et aux Opérationnels m’a permis de forger des convictions sur lesquelles je m’appuie très régulièrement !

Bonne journée,
Pascal.