Cette mini-video rentre dans le cadre du concours de publications… Merci à Cyrille pour sa participation ! 😉 Vous avez jusqu’au 19/12 inclus pour participer, n’hésitez donc pas à m’envoyer vos contributions par mail sur f.fouque[AT]excellence-operationnelle.tv
:: – Article proposé par Cyrille Hurstel, Consultant en organisation – ::
:: – qualité et méthodes au sein du Conseil général du Bas-Rhin – ::
Il y a quelques jours, j’ai eu le plaisir de recevoir une contribution vidéo de
Cyrille Hurstel Consultant en organisation, qualité et méthodes au sein du Conseil général du Bas-Rhin.
Cyrille nous présente les 6 niveaux de résistance… Il en profite pour faire une utilisation concrète du nuage de résolution de conflit (outil de Goldratt).
Si vous aussi, vous souhaitez apporter votre contribution à EOTV, n’hésitez pas à prendre contact avec moi ! 😉
Il faut tout d’abord remercier Cyrille de cet effort de présentation. Les deux thèmes abordés, les 6 étapes du Buy-In et l’Evaporating Cloud sont des outils majeurs des Thinking Processes (TP), et par conséquent de la Théorie des Contraintes (TOC).
Lorsque nous avons nous utilisateurs des TP et de la TOC des réserves (au sens des catégories de réserve légitime), nous les exprimons toujours de façon à ne pas heurter en aucune manière celui dont nous scrutons l’arbre ou la démarche. Et jamais, au grand jamais, nous ne blâmons quiconque.
Je recommande donc à Pascal de s’inspirer de cette réserve (au sens général, cette fois-ci), pour progresser lui-même dans l’utilisation de la Théorie des Contraintes.
J’émets quant à moi une réserve de clarté sur les nuages imbriqués. Je ne comprends pas en effet l’intérêt de mêler deux nuages proches avec un même objectif commun. Le diagramme du nuage de conflit inventé par Eli Goldratt ne comprend que 5 entités. Pourquoi avoir, Cyrille, procédé ainsi?
J’ai bien compris, de l’exposé de Cyrille, que pour les membres de la Commission Européenne le problème de la communication entre natifs de langues différentes ne se posait pas pour leur communication entre eux, puisqu’ils utilisent des traducteurs.
Cependant, il me semble que ce problème existe aussi pour eux en dehors de cette commission, ou pour leurs enfants. Je sais bien que ces élites font souvent un effort vers l’anglais, considéré comme la langue des échanges internationaux, mais ils devraient pouvoir sans doute être amenés à considérer plus positivement l’utilisation de l’Espéranto.
Pour ma part, je ne vois d’obstacle à la création d’une option Espéranto au bac.
Ce qui est intéressant dans l’Esperanto, c’est sa vocation déclarée de langue universelle construite, créée de toutes pièces et, par tant, pensée pour être bien plus facile à acquérir que les langues natives, et donc très utile à l’enfant pour aborder les langues « idiomatiques ».
Le constat, cependant, est que l’Espéranto reste très marginalement utilisé.
Qui a une idée du nuage qui aurait pour objectif commun « Rendre l’apprentissage des langues plus facile » ?
Bien cordialement.