Cette mini-video rentre dans le cadre du concours de publications… Merci à Cyrille pour sa participation ! 😉 Vous avez jusqu’au 19/12 inclus pour participer, n’hésitez donc pas à m’envoyer vos contributions par mail sur f.fouque[AT]excellence-operationnelle.tv
:: – Article proposé par Cyrille Hurstel, Consultant en organisation – ::
:: – qualité et méthodes au sein du Conseil général du Bas-Rhin – ::
Il y a quelques jours, j’ai eu le plaisir de recevoir une contribution vidéo de
Cyrille Hurstel Consultant en organisation, qualité et méthodes au sein du Conseil général du Bas-Rhin.
Cyrille nous présente un exemple réel de gestion de crise dans l’administration…
Si vous aussi, vous souhaitez apporter votre contribution à EOTV, n’hésitez pas à prendre contact avec moi ! 😉
Le film de communication aurait eu lieu même sans certification. Je n’en connais pas son coût, mais je connais le coût de la certification : 60 fois moins que la dite récupération !
Si on pousse le raisonnement sur cette pente nihiliste, on arrive assez vite à l’idée que les certification ISO de service en situation de monopole ne servent à rien. Puis à d’autres considération qui conduisent toutes à ne pas reconnaitre le professionnalisme et l’engagement des équipes. Et on revient alors sur l’intérêt des démarches ISO dans l’administration : la persistance de l’engagement de la direction, qui change tous les 3 ans, la reconnaissance du professionnalisme et l’engagement des agents, et la prise en compte des besoins des clients captifs. CQFD.
Les agents publics ont aussi le droit qu’on reconnaisse de temps en temps l’excellence de leurs performances même si elles ne se traduisent pas en terme de chiffres d’affaire.
L’ISO 9001 est une boite, peu exigeante certes, dans laquelle on peut glisser du 6 sigmas, de la TOC, du Lean, de la communication non-violente etc etc…
Il est par contre urgent d’oublier l’association « ISO 9001 = documentation théorique du processus » car c’est le moyen le plus rapide de créer du gaspillage institutionnalisé. Il est vrai que je passe mon temps à lutter contre cette image de l’ISO 9001 dans l’administration publique. L’institution n’y connait rien mais désire pourtant de l’ISO dans sa pire forme. Un paradoxe à étudier.