Cette émission avec Joël fait partie d’une large série d’émissions dédiées à l’oeuvre de Goldratt…
Il y a deux semaines, Joël nous expliquait le DBR, aujourd’hui il nous parle du Throughput Accounting.
Sans attendre, je vous laisse découvrir cette interview de Joël.. 😉
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Si vous souhaitez en savoir plus sur Joël…
Joël-Henry Grossard est un passionné de la TOC. Il est notamment l’animateur d’un hub très actif sur viadeo. Il alimente également le sujet sur son site theoriedescontraintes.fr
Si vous aussi, vous voulez échanger sur votre spécialité pour partager vos connaissances avec les membres d’EOTV, n’hésitez pas à me contacter ! 😉
Bonjour,
Les indicateurs dont parle Joël-Henry Grossard sont repris dans le livre : « 1an pour sauver l’entreprise ». Et en effet, ils répondent bien aux problématiques que rencontrent les directeurs d’usine et les directeurs d’entrepôt.
Bonsoir,
Excellent post.
Si je peux me permettre, je voudrais juste apporter quelques précisions :
• Les amortissements des immobilisations intégrent les dépenses de fonctionnement ;
• Le Throughput est un indicateur de cash qui peut être rapproché de l’Excédent de Trésorerie d’Exploitation (ETE), puisqu’il mesure la génération de trésorerie issue du cycle opérationnel, les ventes et les achats à crédit (créances clients / dettes fournisseurs) étant considérés comme des stocks de trésorerie. Le Throughput est reconnu lorsque le cash a été encaissé pour la vente, ce qui diffère des règles de la comptabilité financière.
• L’autre grande différence avec les méthodes de comptabilité de gestion traditionnelles est la non absorption des coûts dans les stocks (transfert de coûts du compte de résultat vers le bilan). Ceci est requis par les règles comptables. C’est un des obstacles pour mettre en œuvre le TA.
• Enfin, je pense que les priorités fiscales des entreprises (qui justifient les allocations de coûts et les prix de transfert) sont souvent en opposition avec les priorités opérationnelles.
Cordialement,
Bonjour,
Merci pour ces échanges.
J’aurais cependant, trois questions ou demandes de précisions à Pierre en particulier:
– Quand vous dîtes que T s’évalue après encaissement et décaissement, cela signifie que l’on doit tenir compte de la variation des créances clients et des dettes fournisseurs quand on fait un point sur une période passée versus une autre période. Cependant, lorsque l’on est en projection/simulation cela revient à considérer que T= facturation – Coûts complètement variables. On fait forcément l’hypothèse que tout est encaissé et décaissé sur la période ?
– Dans l’ETE, il y a la variation de stocks ? Or la variation de stocks est dans les Investissements?
– On voit souvent que le cash flow est défini comme T-OE-I. Cette formule me pose tout de même un problème car si je ne fais pas d’erreur il y a les amortissements dans les OE. Aussi, pour moi la formule devrait être:
Cash flow = T-(OE+ Amortissements)-I
Est ce que j’ai tort ?
Dîtes moi.
Merci.
Correction les questions concernent PJK, mais si quelqu’un d’autre est en mesure de répondre, il est le bienvenu.
Merci.
Bonjour,
Merci pour cette vidéo qui était très intéressante et qui permet d’aborder le Throughput Accounting de manière pratique et théorique.
Je crois que ce qui est surtout très « drôle » dans l’histoire du Cost World est que : si on reprend l’exemple en inversant les temps du goulot entre les deux produits, le contrôleur de gestion du cost world prendra la même décision que le cas décrit dans la vidéo mais aura cette fois raison (car ses paramètres de décision n’ont pas changé et sont donc des fantômes mathématiques).